Le Slow Freelancing, on vous explique
“Travailler plus pour gagner plus” : cette idéologie traditionnelle convient à ceux qui mettent leurs vies au service de leur carrière. Mais les moeurs ont changé en laissant place à un mode de vie bien différent : travailler moins sans gagner moins, mettant ainsi notre travail au profit de notre vie personnelle. Ce mode de vie existait déjà auprès des indépendants mais cela fait seulement quelques années que cette notion est théorisée. Il n’est pas inutile d’avoir de réelles ambitions professionnelles et de tout faire pour y arriver mais il n’y a aucun mal à ne pas vouloir une vie de surmenage et à se créer ses propres idéaux. Cette alternative est ce qu’on appelle le Slow Freelancing. Brice Schwartz en est un référent à travers ses nombreux contenus digitaux : “Slow Freelancing, Le Podcast”, ou encore via ses posts sur LinkedIn.
Ce mode de vie vient ralentir la cadence des méthodes de travail traditionnelles afin de privilégier la qualité à la quantité tout en accordant une réelle importance à l’impact environnemental de son activité. C’est un mode de travail à contre-courant où l’on avance tranquillement, en privilégiant son bien-être, et en vivant confortablement.
Qu’est ce que ça nous apporte ?
Dans l’idée, le Slow Freelancing se base sur trois idéologies :
1. travailler moins (mais plus intelligemment),
2. gagner plus (ou au moins la même chose) et
3. choisir chaque aspect de sa vie d’indépendant en s’imposant le moins de contraintes possible.
Il est prouvé aujourd’hui qu’une personne épanouie, libre, volontaire est plus productive, mieux stimulée intellectuellement, et plus créative au sein de son activité professionnelle.
Le Slow Freelancing permet d’entretenir un véritable équilibre entre la vie professionnelle et personnelle en créant des rythmes de travail qui s’adaptent à tous et en répondant aux besoins de chacun. Cette méthode vient favoriser la santé mentale en excluant le cercle vicieux de l’hyperproductivité, de la culpabilité et de toujours devoir en faire davantage. Et, ainsi, permettre de travailler moins, mais mieux. Avec ce fonctionnement, une réelle sélection des missions peut être réalisée afin de privilégier des projets qui nous tiennent à coeur et en accord avec nos propres valeurs.
Comment s’y prendre ?
Avant de se lancer, il est important de se poser les bonnes questions, de se connaître, de connaître ses valeurs, son fonctionnement, son rythme et de trouver des objectifs cohérents à son propre système d’indépendant.
Pour ce qui est du rythme, l’important est de déterminer les moments où nous sommes le plus productif et aussi de s’offrir de réelles pauses. C’est pourquoi chez Nomad Optimist des horaires flexibles sont mis en place afin que chacun puisse travailler comme il l’entend en conciliant sa vie personnelle et professionnelle. Pour travailler moins et en faire autant. Sachant que nous sommes une structure dématérialisée, en plus de ne pas avoir de contrainte temporelle, il n’y a aucune contrainte géographique. Chacun peut donc travailler quand il veut et d’où il veut.
Le Slow Freelancing peut paraître utopique mais il ne faut pas oublier certaines réalités à prendre en compte pour ne pas se laisser surprendre. Il faut avoir confiance en soi, en son travail, et accepter des missions qui sortent de l’ordinaire. Et surtout, il faut se construire une communauté et non avoir des concurrents. Nous, Nomadiens⸱iennes, pensons que la force collective est plus efficace et plus productive que la somme des compétences individuelles de chacun.
Nomad Optimist et le Slow Freelancing
Chez Nomad Optimist nous nous battons tous les jours afin de rendre le monde meilleur. Nos actions et nos choix sont stimulés par cette simple question “Notre planète se portera-t-elle un peu mieux demain ?”. Nous pensons que c’est en changeant les modes de travail d’aujourd’hui que nous arriverons à mieux répondre aux besoins de demain. C’est pourquoi nous fonctionnons de manière à ce que chacun puisse vivre pleinement comme il l’entend, en alliant travail et bonheur. Nous encourageons chacun à vivre la vie qu’il souhaite et nous l’accompagnons au mieux dans ce sens.
Globalement, le Slow Freelancing est aujourd’hui à la fois un véritable mode de vie mais aussi une véritable manière de pensée : se reconnecter à l’essentiel en privilégiant une vie plus “simple”, plus responsable écologiquement, et en mettant sa santé mentale au coeur de ses priorités.
Pour les plus curieux, n’hésitez pas à écouter “Slow Freelancing, Le Podcast” par Brice Schwartz, chaque semaine, il alterne entre des épisodes seul et avec des invités afin de parler de ce nouveau mode de vie.